Clash à TPMP les chéris ! Hier soir, une affiche antisémite a provoqué un débat explosif sur notre plateau. Les chroniqueurs étaient en feu, critiquant vivement le silence assourdissant de notre président, Emmanuel Macron, face à cette polémique brûlante. Accrochez-vous, ça va secouer !

Le débat a été lancé par Thomas, qui n'a pas mâché ses mots : "C'est dégueulasse, on est au-delà de l'abjection !" Raymond, toujours franc et direct, a renchéri : "Si Macron tweetait sur rien, je l'aurais défendu. Mais il tweete. Le problème, c'est qu'il tweete pas sur ça." Les mots étaient durs, les passions à leur comble. La tension était palpable sur le plateau.

Le rôle de Macron dans la polémique

Géraldine Mallien a remis une couche en soulignant le manque de réaction du président : "Il choisit, c'est un juif, le rabbin, et il a tweeté pour ce rabbin-là. Mais il n'a pas tweeté pour l'affiche." Un silence qui en dit long, selon nos chroniqueurs, sur la stratégie de communication du président.

Impact social et politique

Jules a également apporté son point de vue : "Même à gauche, cette affiche a suscité une polémique. L'antisémitisme, ça ne doit pas être quelque chose d'international. Tout le monde doit être confronté à ce truc-là." Le débat a mis en lumière la division de la société française, exacerbée par l'inaction présumée du président.

"On mesure à quel point la France est en ce moment totalement polarisée, communautarisée", a déclaré Géraldine Mallien avec émotion.

Après cette citation bouleversante, le débat a continué sur le rôle de la France Insoumise et la communication d'Emmanuel Macron. Les chroniqueurs n'ont pas mâché leurs mots, soulignant l'importance d'une réaction présidentielle forte.

• Thomas a exprimé son malaise face à la situation actuelle.
• Raymond a critiqué le choix sélectif des sujets traités par Macron.
• Géraldine a souligné les enjeux communautaires exacerbés par ce silence.

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1. Le débat a commencé par une intervention de Thomas, choqué par l'affiche.
2. Raymond a ensuite critiqué le silence de Macron sur Twitter.
3. Enfin, Géraldine a rappelé les dangers d'une France divisée.